Voyons voir, Petit Poisson, qui t’a donné le titre de sauveur officiel du drame des autres ? Parce que dernièrement tu t’es lancé dans des feuilletons qui ne sont même pas les tiens. Et le pire, c’est qu’au lieu d’être le spectateur avec du pop-corn, vous devenez le protagoniste, le réalisateur et le producteur exécutif de la souffrance collective. Arrêt. Ne prenez pas trop au sérieux les erreurs des autres, ce n’est pas votre mission de les corriger, et encore moins de les subir vous-même. Chacun sa croix, et vous en avez déjà assez avec la vôtre.
Cela étant dit, ce n’est pas comme si vous pouviez simplement désactiver votre empathie comme un interrupteur, car lorsque vous vous souciez de quelqu’un, cela vous fait mal à l’âme de le voir se tromper. Et oui, il va tout gâcher. Et vous le voyez venir à des kilomètres. Mais même si vous mettez un panneau au néon indiquant « Danger : erreur en cours », il n’y prêtera pas attention. Alors lâche prise, Poissons. Respirer. Ne laissez pas le tsunami émotionnel des autres vous emporter.
Oh, et en parlant de mauvaises ondes… il y a quelqu’un à proximité qui n’est pas si mal que ça. Ce n’est pas qu’il vous lance une bombe de front, mais il laisse du poison à petites doses. Appelez cela de l’envie, de la jalousie ou simplement de l’ennui, mais c’est là, voulant saboter votre paix. Ne lui donnez pas de pouvoir. Vous avez beaucoup d’intuition, si quelque chose vous semble étrange, il y a une raison à cela. Partir. Protégez votre énergie comme si c’était votre compte bancaire.
Et enfin, détendez-vous face aux échecs. Si quelque chose est retardé, si quelque chose ne se passe pas comme prévu, si l’univers décide de vous jouer une blague cosmique ce week-end, ne paniquez pas. Ne devenez pas fou, ne devenez pas victime d’un destin cruel. Tout arrive, tout arrive, tout s’installe. Alors lâchez le contrôle et profitez. Bon week-end…