Lorsque le Capricorne s’énerve, cela peut être très dangereux. Chaque signe se fâche et libère toute sa colère à sa manière. Certains le font en silence, furtivement mais dangereusement. D’autres, par contre, sont remarqués et quand ils sont énervés, chaque être vivant sur la planète terre le découvre.
Ce n’est pas que vous aimiez les confrontations mais oui, celui qui vous cherche vous trouvera et vous serez toujours prêt à vous taire. Quand tu t’énerves, c’est clair pour toi.
Vous vous fâchez oui, mais pas à cause de tout, Capricorne, si quelqu’un dit quelque chose d’absurde, vous pensez juste qu’il est stupide, mais si quelqu’un vous trahit ou joue avec votre esprit, alors vous vous fâchez. Et beaucoup. Vous ne pardonnez pas et vous n’oubliez pas, à moins que la personne qui vous a mis en colère soit assez intelligente pour vous demander pardon, et du fond du cœur, en plus de montrer, efficacement, qu’elle veut regagner votre confiance. Car en plus de tout ce ressentiment que vous pouvez accumuler, vous cessez de faire confiance, et vous cessez de le faire radicalement. Et sans cela il n’y a ni amitié, ni amour, ni rien.
Quand tu t’énerves, les pires idées du monde te traversent la tête : vengeance, vengeance, règlement de comptes… Et la vérité c’est que ces idées mettent du temps à se dissiper de ta tête. Ce n’est pas facile pour eux de partir car, même si vous le voulez, vous savez que si c’est une injustice, cette injustice doit être payée. S’ils vous mettent très en colère, vous pouvez facilement perdre vos rôles, en plus, vous savez être la personne la plus cruelle sur terre et pour vous faire pleurer, vous feriez mieux de faire pleurer les autres. Oui, tout cela peut sembler un peu sombre, mais peu importe à quel point vous semblez fort à l’extérieur, à l’intérieur vous êtes aussi brisé, et vous souffrez, et vous avez du mal, et les mots des autres peuvent vous faire très mal. Tu n’es pas fait de fer Capri. Et lorsque vous faites ce dommage aux autres, c’est parce que vous avez ressenti le même dommage ou même plus pour les autres. Le « mal » ne sort pas de nulle part.